Article de Nicolas du blog Développer sa confiance
Il existe plus de 8 milliards d’individus sur terre et pourtant pas autant de personnalités différentes… En effet, il est possible de regrouper les êtres humains en 16 types de comportements psychologiques communs !
Il n’est pas question ici de mettre les gens dans des cases mais plutôt d’essayer de déterminer des préférences cognitives communes qui permettent de comprendre et anticiper certaines réactions.
Car, sans dévoiler les utilités que nous aborderons dans cet article, le MBTI est un formidable outil pour apprendre sur soi, comprendre les autres et ainsi développer sa confiance en soi.
Je vous propose donc au cours de ces quelques lignes de plonger à la découverte d’un instrument de connaissance de soi qui peut changer la vie.
Nietzsche disait « Deviens qui tu es »…
Et bien c’est exactement ce que je souhaiterais vous inviter à commencer en découvrant ce qu’est le Myers Briggs Type Indicator.
1) Qu’est ce que le MBTI ?
a) Rapide historique
Le Myers Briggs Type Indicator, tire ses fondements des travaux d’un psychologue suisse disciple du père de la psychanalyse, Sigmund Freud. Carl Gustav Jung, puisque c’est son nom, étudia les différentes fonctions cognitives de l’être humain.
Il mit en évidence, certains axes de préférences significatifs au cours de la première moitié du XX ème siècle. Ses travaux furent ensuite repris et complétés par une mère et sa fille : Katerine Cook Briggs et Isabel Briggs Myers.
Plus que de compléter les avancées du psychologue suisse, ces dernières parvinrent à créer une sorte de matrice de 16 profils psychologiques dans laquelle il serait possible de classer l’ensemble des être humains.
Là où je disais précédemment que le but de ces travaux ne furent pas de ranger les gens dans des cases, c’est qu’il faut plus voir cette démarche comme une tentative de cartographie des comportements.
Très utilisé et populaire en Amérique du Nord, le MBTI tend à progressivement se démocratiser aujourd’hui en Europe.
b) Les 4 Préférences de chaque profil
Au même titre que tout le monde s’entend pour dire qu’il existe des droitiers et des gauchers, le MBTI décrit 16 préférences de fonctionnements.
Cela ne sous-entend pas que nous ne pouvons pas nous comporter différemment, mais simplement que nous sommes plus à l’aise dans certaines conditions.
C’est un peu comme un droitier pouvant se servir de ses deux mains mais sera toujours plus adroit et efficace avec sa main naturelle.
La première préférence clé qui fut découverte par Carl Jung, fut la préférence que nous avons tous pour trouver notre énergie au quotidien.
On estime que 50 % de la population trouve son énergie via les interactions sociales. En d’autres termes, plus la personne dite « extravertie » (symbolisé par un « E » majuscule) est entourée de monde et plus elle se sentira énergisée.
A l’inverse, l’isolement lui fera vider toutes « ses batteries » très rapidement. Par opposition aux extravertis, on distingue les introvertis (les « I ») qui eux, fonctionnent radicalement à l’opposé.
Pour se ressourcer, ils privilégient systématiquement un bon livre à une soirée entre amis.
Cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas capables de nous comporter aux antipodes de ce que notre nature nous incite à faire, mais que nous avons tous un mode privilégié pour trouver notre énergie.
La seconde préférence, que le modèle considère est celle que nous avons pour recueillir les informations que nous envoyons à notre cerveau.
Là où certains individus privilégient leurs cinq sens (goût, odorat, toucher, vue et ouïe) pour envoyer un tas de stimuli à notre tête, afin de lui permettre de prendre ses décisions, d’autres préfèrent utiliser leur sixième sens.
Pour eux, c’est l’intuition qui prime ! C’est cette facilité à pressentir ce qui n’est pas encore qui constitue le canal principal pour approvisionner le cerveau avant qu’il ne tranche.
Il est important de savoir que nous récoltons toutes et tous les informations des deux manières. Simplement comme expliqué précédemment nous avons tous un mode privilégié, instinctif : soit le mode sensitif (représenté par la lettre « S ») soit le mode intuitif (caractérisé par un « N »).
La fonction cognitive suivante constituant les profils psychologiques du MBTI, est celle par laquelle chaque individu prend ses décisions. Selon Carl Jung, il existe deux modes de prise de décisions : la logique et l’affect, pour faire simple.
Une fois les informations recueillies, l’être humain peut faire ses choix. Cependant le modèle MBTI met en évidence que nous avons tous une prédilection pour suivre plutôt notre affect (matérialisé par la lettre de « F » de Feeling) ou alors notre côté cartésien (symbolisé par la lettre « T » pour Thinking).
Comme pour la fonction précédente, ce n’est pas binaire en ce sens que chaque individu a en lui ces deux dispositions. Par contre, nous avons tous une préférence instinctive pour plus écouter notre cœur ou notre logique.
Heureusement, le MBTI est un outil de développement personnel et c’est pour cela qu’il est tout à fait possible de travailler ses fonctions non naturelles comme nous le verrons plus tard.
Enfin la quatrième lettre de chaque profil, caractérise ce que l’on appelle le style de vie de l’individu. Le style de vie ou autrement dit le mode d’action, définit la façon dont l’être humain se situe dans le temps.
Cette préférence distingue les individus ayant un style de vie organisé, planifié (dits Jugement) de ceux agissant selon un mode de vie basé sur les opportunités, la flexibilité et la souplesse (surnommés Perception).
Là où les premiers aiment fonctionner dans un cadre défini, les seconds sont au contraire plutôt insoumis et détestent les règles qui limitent leur créativité.
Plus que de savoir quelle préférence est celle de la personne, ce qui est incroyable ce sont les déductions que l’on peut en faire et le chemin de progression que l’on peut déterminer pour soi-même.
Mais nous aborderons ces utilités dans la seconde partie.
c) 16 profils regroupés en 4 familles
David Keirsey fut à l’origine d’une grande avancée en cherchant à travailler sur le modèle établi par Katerine Cook Briggs et Isabel Briggs Myers.
En effet, ce psychologue américain mit en évidence des liens de corrélations entre les 16 types psychologiques du MBTI.
Il parvint à regrouper les 16 personnalités en 4 grandes familles de 4 personnalités chacune, partageant des traits de fonctionnements jouant tous un rôle significatif dans le fonctionnement cognitif de l’être humain.
Dans les grandes lignes en focalisant son attention sur les intérêts spécifiques, sur les valeurs morales, sur l’image que chacun à de soi ou encore sur les rôles sociaux que nous endossons, il élabora une forme de schéma simplifié de la matrice MBTI.
En deux mots, il parvint à 4 descriptions de fonctionnements préférentiels qui allaient constituer une étape intermédiaire avant la découverte de son profil.
L’avantage d’une telle avancée, est de permettre de tirer des enseignements sur les préférences probables d’une personne, beaucoup plus facilement.
Ainsi il décrit :
– le groupe des Idéalistes,
– celui des Rationnels,
– le tempérament des Artisans,
– et la famille des Gardiens.
2) Comment utiliser le MBTI ?
a) Mieux se connaître pour prendre confiance
La première des utilités de cet outil basé sur le câblage psychologique de chaque être humain, est selon moi de mieux s’accepter.
Qui n’a jamais ressenti de frustrations à l’idée de ne pas parvenir à faire les mêmes choses que son voisin ?
Qui n’a jamais rêvé avoir les mêmes talents que des personnes connues, que certaines de ses idoles ?
Lorsque l’on découvre le MBTI, que l’on comprend ses rouages, on est obligé de se rendre à l’évidence que nous ne naissons pas tous avec le même potentiel.
Albert Einstein résumait très bien cette idée lorsqu’il disait :
« Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson à sa capacité de grimper à un arbre, il vivra toute sa vie en croyant qu’il est stupide ».
Voilà exactement la première des utilités du MBTI : faire prendre conscience à quiconque de son potentiel.
Il est donc inutile de se comparer, de se rabaisser, de se dévaloriser en prenant pour référentes des personnes que l’on croit supérieures.
Quand on plonge dans le MBTI, on comprend que nous avons tous (les 16 profils) des qualités innées mais également des points faibles naturels.
Albert Einstein (du profil INTP) avait en fonction inférieure la fonction Feeling extravertie et sans le connaître je peux affirmer qu’il était naturellement peu doué pour manifester et faire la démonstration de ses émotions.
Vincent Van Gogh ou William Shakespeare, tous deux INFP, avaient une sensibilité exacerbée mais étaient particulièrement peu à l’aise avec les tâches pratiques du quotidien (pouvant les amener à oublier de manger par exemple)…
Prendre conscience des caractéristiques de sa personnalité est la première étape vers le renforcement de sa confiance.
b) Gagner en tolérance
La seconde utilité possible d’un outil de développement personnel comme le MBTI, n’est paradoxalement pas orientée vers soi.
En effet, lorsque l’on comprend qu’il existe 16 types de fonctionnements psychologiques préférentiels différents, on ne peut plus juger l’autre aussi sévèrement.
Comment pourrait-on en vouloir à quelqu’un qui entreprend des tas de projets (sans toujours les finir) si l’on sait que cette particularité est typique du tempérament « artisan » ?
Comment pourrait-on reprocher à autrui de ne pas oser sortir de ses habitudes et de sans cesse rechercher la sécurité, sans savoir que ces caractéristiques sont des traits marquants du tempérament « gardien » ?
Le MBTI est certes un outil de connaissance de soi, mais c’est également un outil de compréhension de l’être humain.
Cependant, il ne faut cependant pas pencher à l’extrême et se dire que l’appartenance à tel ou tel profil nous condamne ou pire justifie certains comportements…
Certes chacune des 16 personnalités psychologiques a ses zones d’inconfort (qu’elle a tendance à fuir et à éviter), mais nous avons tous la possibilité de travailler sur nous-mêmes.
Le meilleur exemple pour expliquer que l’appartenance à tel ou tel profil ne fait pas de nous une mauvaise ou une belle personne, c’est tout simplement le fait de s’intéresser à l’histoire.
On trouve des dictateurs dans chaque personnalité psychologique MBTI.
c) Grandir en travaillant ses fonctions
Le troisième bénéfice qu’il est possible d’associer à un instrument comme le MBTI, est tout simplement l’opportunité qu’il confère à quiconque de grandir.
Si cet outil est considéré comme un outil de développement personnel, c’est précisément car il peut permettre à chacun de travailler sur soi.
Mais travailler sur soi signifie aussi bien prendre du recul vis à vis de ses points faibles que renforcer ses points forts.
Ces deux démarches peuvent toutes les deux être à l’origine d’une croissance personnelle.
Sans entrer ici dans les détails, il faut savoir que le modèle hérité des travaux de Carl Jung, considère 4 fonctions pour chacun des 16 types MBTI.
Ces fonctions sont par ordre de maîtrise décroissant :
1 – la fonction dominante,
2 – la fonction auxiliaire,
3 – la fonction tertiaire,
4 – la fonction inférieure.
La fonction dominante de chaque profil est celle que nous maîtrisons le plus aisément et celle inférieure, celle avec laquelle nous sommes le plus maladroit voire le plus mal à l’aise.
Au cours d’une vie, l’expérience se faisant, un être humain va de mieux en mieux appréhender ses fonctions moins naturelles et donc grandir.
Mais là où le MBTI peut être considéré comme un outil de développement, c’est que par la prise de conscience et la compréhension de son propre fonctionnement l’individu a le pouvoir d’accélérer son processus d’évolution.
3) Les 4 tempéraments (familles de profils)
a) Les Idéalistes
La famille des Idéalistes se compose des 4 profils psychologiques MBTI partageant tous deux fonctions cognitives communes.
D’une part, ils recueillent l’information de façon privilégiée en utilisant leur Intuition c’est-à-dire leur sixième sens, et d’autre part les 4 profils « idéalistes » préfèrent écouter leur cœur et leurs émotions pour prendre leurs décisions.
Keirsey symbolisa ce tempérament par les lettres NF (pour Intuition et Feeling).
Même si chacun des 4 profils NF est bien distinct, il constata qu’ils partagent un certain talent pour mettre les autres en confiance. Ce don leur permet généralement d’entretenir l’harmonie dans un groupe et explique que les personnes de ces profils auront tendance à éviter le conflit.
Très démonstratifs de leurs sentiments et de leurs émotions, ils mettent généralement la famille au cœur de leur vie.
Sur le plan professionnel on retrouve le plus souvent les individus de ce tempérament dans des métiers leur permettant de laisser s’exprimer leur créativité tels que les métiers artistiques.
En effet, grâce à leur intuition très développée, ils arrivent à sortir des modèles existants pour imaginer ce qui pourrait être.
Dotés d’un charisme naturel, ils appuient aussi bien leur management des relations humaines que leur mode d’éducation sur des encouragements.
On estime que les « NF » représentent entre 12 % et 17 % de la population, ce qui en fait la deuxième famille de profils la plus rare.
Parmi les représentants célèbres des 4 types NF citons Nelson Mandela, Marcel Proust, Salvador Dali ou l’ex chanteur de Queen, Freddie Mercury.
b) Les Rationnels
Le groupe des Rationnels, se compose également de 4 personnalités psychologiques MBTI, qui partagent pour leur part, les fonctions d’Intuition (pour recueillir les informations envoyées au cerveau) et de logique dirons nous. J’entends par logique, le fait qu’ils suivent prioritairement leur tête avant d’écouter leurs émotions dès lors qu’ils doivent décider.
Cette famille d’individus est la moins représentée dans la population. En effet, on estime qu’environ 11 % à 15 % des êtres humains en font partie.
Les 4 profils MBTI rationnels, se distinguent avant tout par une énorme soif d’apprendre. Leurs besoins de connaître et de grandir en permanence, font qu’ils poursuivent tout au long de leur vie une forte attirance pour la recherche de nouveaux modèles de développement.
D’un naturel perfectionniste, ils ont généralement plus de difficultés que la moyenne des gens pour exprimer leurs sentiments et manifester leur affection à leur entourage.
Peu sensibles à la critique, ils accordent une grande importance à leur vie professionnelle ayant cependant du mal avec leur hiérarchie s’ils ne la jugent pas compétente.
Leur intuition très développée fait d’eux des êtres assez visionnaires.
Leur discours est généralement optimisé, sans détails superflus, car ils recherchent avant tout l’efficacité et donnent peu d’importance au paraître.
Sur le plan professionnel et du fait des caractéristiques que nous venons d’énoncer, on retrouve souvent les 4 profils rationnels dans des métiers scientifiques, d’ingénierie ou encore dans le milieu architecte.
Bons gestionnaires que ce soit pour leurs finances ou pour leur temps, ils ne se laissent pas surprendre ou rarement.
Comme ambassadeurs des personnalités rationnelles citons par exemple Albert Einstein, Mark Zuckerberg, Léonard de Vinci ou encore Steve Jobs.
c) Les Artisans (de projets)
Les 4 profils psychologiques dits artisans, se caractérisent selon les observations de David Keirsey, par le fait de privilégier leurs 5 sens (plutôt que leur intuition) de façon instinctive pour collecter les informations qui permettent au cerveau de prendre ses décisions.
Le second point que les 4 personnalités psychologiques de ce tempérament ont en commun est leur style de vie (perceptif). Ce dernier fait qu’elles considèrent le changement comme une source d’opportunités (à la différence des personnes « Jugement ») face auxquelles elles se distinguent par leur grande flexibilité.
Les profils « artisans » considèrent les règles comme des entraves… Entraves à l’expression de leur potentiel.
Résolument optimistes, ils sont généralement confiants en l’avenir.
Sur le plan statistique, on estime qu’ils représentent entre 25 % et 30 % de la population.
C’est le tempérament de l’entrepreneur par excellence ! Le fait de ne pas avoir peur de risquer et leur soif du non conventionnel sont les deux principales caractéristiques qui l’expliquent.
Leur fonction Sensation fait vraiment des personnes appartenant à ces 4 profils, des êtres résolument tournés vers l’action et le fait de faire.
Sur le plan professionnel on retrouve de façon logique un grand nombre d’entrepreneurs, d’artisans et de différents métiers orientés « résultats » (commerciaux etc.).
Vladimir Poutine, Winston Churchill, Léonardo Di Caprio ou Mickael Jackson sont (ou étaient) des représentants des 4 profils psychologiques des artisans.
d) Les Gardiens (du changement)
Le quatrième regroupement de profils que le psychologue américain David Keirsey avait baptisé, est connu sous le nom de tempérament des gardiens (sous-entendu du changement).
Cette famille de profils est la plus représentée des 4 rassemblant entre 40 % et 45 % de la population.
Comme leur nom l’indique, les individus la composant sont peu enclins à l’évolution mais se distinguent par leur volonté de préserver le cadre existant.
Les 4 types MBTI de ce groupe ont tous en commun d’être sensitifs (de recueillir les informations avec leurs 5 sens en priorité) et parallèlement d’avoir un état d’esprit dans le Jugement (au niveau de leur style de vie).
Particulièrement à l’aise dans la répétition, ce sont des individus qui vivent dans le concret.
Ils sont réalistes, ont bien les pieds sur terre et se distinguent par leur sens de l’organisation.
La contrepartie de ces caractéristiques est que les personnes de ces 4 profils psychologiques sont vite déstabilisées par les changements brutaux de leurs repères.
Ayant un fort sentiment d’appartenance au groupe, ils sont très attachés aux valeurs morales de loyauté et de respect des traditions.
Dans le monde professionnel, on trouve de façon logique beaucoup de personnes de l’un de ces 4 profils dans l’administration, la justice ou l’enseignement par exemple. Le point commun de toutes ces professions est qu’elles renvoient au maintien du cadre existant.
La conséquence induite par le fait que les personnes de ce tempérament soient les plus nombreuses, est que ce sont elles qui influencent le plus la Société, au moins dans ses fondements d’organisation. Nous pouvons dire que notre Société moderne est un monde créé par et pour les SJ (gardiens du changement).
Parmi les « gardiens » célèbres on peut citer le pape François, le dictateur Augusto Pinochet, la princesse Kate Middleton ou le fondateur d’Amazon Jeff Bezos par exemple.
Conclusion
En matière de développement personnel, il existe vraiment un tas d’instruments à notre disposition si nous désirons travailler à devenir de plus belles personnes. Le MBTI via la compréhension de ses préférences psychologiques en fait partie.
Au travers de cet article j’espère vous avoir fait comprendre que n’importe quel individu dispose inévitablement à la naissance d’un potentiel incroyable.
L’enjeu ne se situe donc pas au niveau du fait de savoir si nous sommes « bénis des Dieux » ou non, mais plutôt de définir notre chemin de croissance, d’évolution, en fonction de nos qualités et de nos points faibles.
L’AUTEUR
Je me prénomme Nicolas, et mon but dans la vie est de démocratiser un outil de découverte de soi, incroyable : le MBTI. Grâce à lui j’ai osé partir faire le tour de l’Amérique du Sud avec mon sac à dos pendant 10 mois, alors que que j’aimais mon confort, que j’étais casanier et pas aventurier pour un sou… J’ai appris d’où me venaient mes peurs, j’ai travaillé dessus et j’ai pu vivre ce qui reste à aujourd’hui la plus formidable année de toute ma vie !