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Découvrir sa personnalité psychologique

Article de Nicolas du blog Développer sa confiance

Il existe plus de 8 milliards d’individus sur terre et pourtant pas autant de personnalités différentes… En effet, il est possible de regrouper les êtres humains en 16 types de comportements psychologiques communs !

Il n’est pas question ici de mettre les gens dans des cases mais plutôt d’essayer de déterminer des préférences cognitives communes qui permettent de comprendre et anticiper certaines réactions.

Car, sans dévoiler les utilités que nous aborderons dans cet article, le MBTI est un formidable outil pour apprendre sur soi, comprendre les autres et ainsi développer sa confiance en soi.

Je vous propose donc au cours de ces quelques lignes de plonger à la découverte d’un instrument de connaissance de soi qui peut changer la vie.

Nietzsche disait « Deviens qui tu es »… 

Et bien c’est exactement ce que je souhaiterais vous inviter à commencer en découvrant ce qu’est le Myers Briggs Type Indicator.

1) Qu’est ce que le MBTI ?

a) Rapide historique 

Le Myers Briggs Type Indicator, tire ses fondements des travaux d’un psychologue suisse disciple du père de la psychanalyse, Sigmund Freud. Carl Gustav Jung, puisque c’est son nom, étudia les différentes fonctions cognitives de l’être humain.

Il mit en évidence, certains axes de préférences significatifs au cours de la première moitié du XX ème siècle. Ses travaux furent ensuite repris et complétés par une mère et sa fille : Katerine Cook Briggs et Isabel Briggs Myers.

Plus que de compléter les avancées du psychologue suisse, ces dernières parvinrent à créer une sorte de matrice de 16 profils psychologiques dans laquelle il serait possible de classer l’ensemble des être humains.

Là où je disais précédemment que le but de ces travaux ne furent pas de ranger les gens dans des cases, c’est qu’il faut plus voir cette démarche comme une tentative de cartographie des comportements.

Très utilisé et populaire en Amérique du Nord, le MBTI tend à progressivement se démocratiser aujourd’hui en Europe.

b) Les 4 Préférences de chaque profil

Au même titre que tout le monde s’entend pour dire qu’il existe des droitiers et des gauchers, le MBTI décrit 16 préférences de fonctionnements.

Cela ne sous-entend pas que nous ne pouvons pas nous comporter différemment, mais simplement que nous sommes plus à l’aise dans certaines conditions.

C’est un peu comme un droitier pouvant se servir de ses deux mains mais sera toujours plus adroit et efficace avec sa main naturelle. 

La première préférence clé qui fut découverte par Carl Jung, fut la préférence que nous avons tous pour trouver notre énergie au quotidien. 

On estime que 50 % de la population trouve son énergie via les interactions sociales. En d’autres termes, plus la personne dite « extravertie » (symbolisé par un « E » majuscule) est entourée de monde et plus elle se sentira énergisée.

A l’inverse, l’isolement lui fera vider toutes « ses batteries » très rapidement. Par opposition aux extravertis, on distingue les introvertis (les « I ») qui eux, fonctionnent radicalement à l’opposé.

Pour se ressourcer, ils privilégient systématiquement un bon livre à une soirée entre amis. 

Cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas capables de nous comporter aux antipodes de ce que notre nature nous incite à faire, mais que nous avons tous un mode privilégié pour trouver notre énergie.

La seconde préférence, que le modèle considère est celle que nous avons pour recueillir les informations que nous envoyons à notre cerveau.

Là où certains individus privilégient leurs cinq sens (goût, odorat, toucher, vue et ouïe) pour envoyer un tas de stimuli à notre tête, afin de lui permettre de prendre ses décisions, d’autres préfèrent utiliser leur sixième sens.

Pour eux, c’est l’intuition qui prime ! C’est cette facilité à pressentir ce qui n’est pas encore qui constitue le canal principal pour approvisionner le cerveau avant qu’il ne tranche.

Il est important de savoir que nous récoltons toutes et tous les informations des deux manières. Simplement comme expliqué précédemment nous avons tous un mode privilégié, instinctif : soit le mode sensitif (représenté par la lettre « S ») soit le mode intuitif (caractérisé par un « N »).

La fonction cognitive suivante constituant les profils psychologiques du MBTI, est celle par laquelle chaque individu prend ses décisions. Selon Carl Jung, il existe deux modes de prise de décisions : la logique et l’affect, pour faire simple. 

Une fois les informations recueillies, l’être humain peut faire ses choix. Cependant le modèle MBTI met en évidence que nous avons tous une prédilection pour suivre plutôt notre affect (matérialisé par la lettre de « F » de Feeling) ou alors notre côté cartésien (symbolisé par la lettre « T » pour Thinking).

Comme pour la fonction précédente, ce n’est pas binaire en ce sens que chaque individu a en lui ces deux dispositions. Par contre, nous avons tous une préférence instinctive pour plus écouter notre cœur ou notre logique.

Heureusement, le MBTI est un outil de développement personnel et c’est pour cela qu’il est tout à fait possible de travailler ses fonctions non naturelles comme nous le verrons plus tard.

Enfin la quatrième lettre de chaque profil, caractérise ce que l’on appelle le style de vie de l’individu. Le style de vie ou autrement dit le mode d’action, définit la façon dont l’être humain se situe dans le temps.

Cette préférence distingue les individus ayant un style de vie organisé, planifié (dits Jugement) de ceux agissant selon un mode de vie basé sur les opportunités, la flexibilité et la souplesse (surnommés Perception).

Là où les premiers aiment fonctionner dans un cadre défini, les seconds sont au contraire plutôt insoumis et détestent les règles qui limitent leur créativité.

Plus que de savoir quelle préférence est celle de la personne, ce qui est incroyable ce sont les déductions que l’on peut en faire et le chemin de progression que l’on peut déterminer pour soi-même.

Mais nous aborderons ces utilités dans la seconde partie.

c) 16 profils regroupés en 4 familles

David Keirsey fut à l’origine d’une grande avancée en cherchant à travailler sur le modèle établi par Katerine Cook Briggs et Isabel Briggs Myers.

En effet, ce psychologue américain mit en évidence des liens de corrélations entre les 16 types psychologiques du MBTI.

Il parvint à regrouper les 16 personnalités en 4 grandes familles de 4 personnalités chacune, partageant des traits de fonctionnements jouant tous un rôle significatif dans le fonctionnement cognitif de l’être humain.

Dans les grandes lignes en focalisant son attention sur les intérêts spécifiques, sur les valeurs morales, sur l’image que chacun à de soi ou encore sur les rôles sociaux que nous endossons, il élabora une forme de schéma simplifié de la matrice MBTI.

En deux mots, il parvint à 4 descriptions de fonctionnements préférentiels qui allaient constituer une étape intermédiaire avant la découverte de son profil.

L’avantage d’une telle avancée, est de permettre de tirer des enseignements sur les préférences probables d’une personne, beaucoup plus facilement.

Ainsi il décrit :

– le groupe des Idéalistes,

– celui des Rationnels,

– le tempérament des Artisans,

– et la famille des Gardiens.

2) Comment utiliser le MBTI ? 

a) Mieux se connaître pour prendre confiance

La première des utilités de cet outil basé sur le câblage psychologique de chaque être humain, est selon moi de mieux s’accepter.

Qui n’a jamais ressenti de frustrations à l’idée de ne pas parvenir à faire les mêmes choses que son voisin ?

Qui n’a jamais rêvé avoir les mêmes talents que des personnes connues, que certaines de ses idoles ?

Lorsque l’on découvre le MBTI, que l’on comprend ses rouages, on est obligé de se rendre à l’évidence que nous ne naissons pas tous avec le même potentiel.

Albert Einstein résumait très bien cette idée lorsqu’il disait :

« Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson à sa capacité de grimper à un arbre, il vivra toute sa vie en croyant qu’il est stupide ».

Voilà exactement la première des utilités du MBTI : faire prendre conscience à quiconque de son potentiel.

Il est donc inutile de se comparer, de se rabaisser, de se dévaloriser en prenant pour référentes des personnes que l’on croit supérieures.

Quand on plonge dans le MBTI, on comprend que nous avons tous (les 16 profils) des qualités innées mais également des points faibles naturels.

Albert Einstein (du profil INTP) avait en fonction inférieure la fonction Feeling extravertie et sans le connaître je peux affirmer qu’il était naturellement peu doué pour manifester et faire la démonstration de ses émotions.

Vincent Van Gogh ou William Shakespeare, tous deux INFP, avaient une sensibilité exacerbée mais étaient particulièrement peu à l’aise avec les tâches pratiques du quotidien (pouvant les amener à oublier de manger par exemple)…

Prendre conscience des caractéristiques de sa personnalité est la première étape vers le renforcement de sa confiance.

b) Gagner en tolérance

La seconde utilité possible d’un outil de développement personnel comme le MBTI, n’est paradoxalement pas orientée vers soi.

En effet, lorsque l’on comprend qu’il existe 16 types de fonctionnements psychologiques préférentiels différents, on ne peut plus juger l’autre aussi sévèrement.

Comment pourrait-on en vouloir à quelqu’un qui entreprend des tas de projets (sans toujours les finir) si l’on sait que cette particularité est typique du tempérament « artisan » ?

Comment pourrait-on reprocher à autrui de ne pas oser sortir de ses habitudes et de sans cesse rechercher la sécurité, sans savoir que ces caractéristiques sont des traits marquants du tempérament « gardien » ?

Le MBTI est certes un outil de connaissance de soi, mais c’est également un outil de compréhension de l’être humain.

Cependant, il ne faut cependant pas pencher à l’extrême et se dire que l’appartenance à tel ou tel profil nous condamne ou pire justifie certains comportements… 

Certes chacune des 16 personnalités psychologiques a ses zones d’inconfort (qu’elle a tendance à fuir et à éviter), mais nous avons tous la possibilité de travailler sur nous-mêmes.

Le meilleur exemple pour expliquer que l’appartenance à tel ou tel profil ne fait pas de nous une mauvaise ou une belle personne, c’est tout simplement le fait de s’intéresser à l’histoire.

On trouve des dictateurs dans chaque personnalité psychologique MBTI.

c) Grandir en travaillant ses fonctions

Le troisième bénéfice qu’il est possible d’associer à un instrument comme le MBTI, est tout simplement l’opportunité qu’il confère à quiconque de grandir.

Si cet outil est considéré comme un outil de développement personnel, c’est précisément car il peut permettre à chacun de travailler sur soi.

Mais travailler sur soi signifie aussi bien prendre du recul vis à vis de ses points faibles que renforcer ses points forts.

Ces deux démarches peuvent toutes les deux être à l’origine d’une croissance personnelle.

Sans entrer ici dans les détails, il faut savoir que le modèle hérité des travaux de Carl Jung, considère 4 fonctions pour chacun des 16 types MBTI.

Ces fonctions sont par ordre de maîtrise décroissant : 

1 – la fonction dominante, 

2 – la fonction auxiliaire,

3 – la fonction tertiaire,

4 – la fonction inférieure.

La fonction dominante de chaque profil est celle que nous maîtrisons le plus aisément et celle inférieure, celle avec laquelle nous sommes le plus maladroit voire le plus mal à l’aise.

Au cours d’une vie, l’expérience se faisant, un être humain va de mieux en mieux appréhender ses fonctions moins naturelles et donc grandir.

Mais là où le MBTI peut être considéré comme un outil de développement, c’est que par la prise de conscience et la compréhension de son propre fonctionnement l’individu a le pouvoir d’accélérer son processus d’évolution.

3) Les 4 tempéraments (familles de profils)

a) Les Idéalistes

La famille des Idéalistes se compose des 4 profils psychologiques MBTI partageant tous deux fonctions cognitives communes.

D’une part, ils recueillent l’information de façon privilégiée en utilisant leur Intuition c’est-à-dire leur sixième sens, et d’autre part les 4 profils « idéalistes » préfèrent écouter leur cœur et leurs émotions pour prendre leurs décisions.

Keirsey symbolisa ce tempérament par les lettres NF (pour Intuition et Feeling).

Même si chacun des 4 profils NF est bien distinct, il constata qu’ils partagent un certain talent pour mettre les autres en confiance. Ce don leur permet généralement d’entretenir l’harmonie dans un groupe et explique que les personnes de ces profils auront tendance à éviter le conflit.

Très démonstratifs de leurs sentiments et de leurs émotions, ils mettent généralement la famille au cœur de leur vie.

Sur le plan professionnel on retrouve le plus souvent les individus de ce tempérament dans des métiers leur permettant de laisser s’exprimer leur créativité tels que les métiers artistiques.

En effet, grâce à leur intuition très développée, ils arrivent à sortir des modèles existants pour imaginer ce qui pourrait être.

Dotés d’un charisme naturel, ils appuient aussi bien leur management des relations humaines que leur mode d’éducation sur des encouragements.

On estime que les « NF » représentent entre 12 % et 17 % de la population, ce qui en fait la deuxième famille de profils la plus rare.

Parmi les représentants célèbres des 4 types NF citons Nelson Mandela, Marcel Proust, Salvador Dali ou l’ex chanteur de Queen, Freddie Mercury.

b) Les Rationnels

Le groupe des Rationnels, se compose également de 4 personnalités psychologiques MBTI, qui partagent pour leur part, les fonctions d’Intuition (pour recueillir les informations envoyées au cerveau) et de logique dirons nous. J’entends par logique, le fait qu’ils suivent prioritairement leur tête avant d’écouter leurs émotions dès lors qu’ils doivent décider.

Cette famille d’individus est la moins représentée dans la population. En effet, on estime qu’environ 11 % à 15 % des êtres humains en font partie.

Les 4 profils MBTI rationnels, se distinguent avant tout par une énorme soif d’apprendre. Leurs besoins de connaître et de grandir en permanence, font qu’ils poursuivent tout au long de leur vie une forte attirance pour la recherche de nouveaux modèles de développement.

D’un naturel perfectionniste, ils ont généralement plus de difficultés que la moyenne des gens pour exprimer leurs sentiments et manifester leur affection à leur entourage.

Peu sensibles à la critique, ils accordent une grande importance à leur vie professionnelle ayant cependant du mal avec leur hiérarchie s’ils ne la jugent pas compétente.

Leur intuition très développée fait d’eux des êtres assez visionnaires.

Leur discours est généralement optimisé, sans détails superflus, car ils recherchent avant tout l’efficacité et donnent peu d’importance au paraître. 

Sur le plan professionnel et du fait des caractéristiques que nous venons d’énoncer, on retrouve souvent les 4 profils rationnels dans des métiers scientifiques, d’ingénierie ou encore dans le milieu architecte. 

Bons gestionnaires que ce soit pour leurs finances ou pour leur temps, ils ne se laissent pas surprendre ou rarement.

Comme ambassadeurs des personnalités rationnelles citons par exemple Albert Einstein, Mark Zuckerberg, Léonard de Vinci ou encore Steve Jobs.

c) Les Artisans (de projets)

Les 4 profils psychologiques dits artisans, se caractérisent selon les observations de David Keirsey, par le fait de privilégier leurs 5 sens (plutôt que leur intuition) de façon instinctive pour collecter les informations qui permettent au cerveau de prendre ses décisions. 

Le second point que les 4 personnalités psychologiques de ce tempérament ont en commun est leur style de vie (perceptif). Ce dernier fait qu’elles considèrent le changement comme une source d’opportunités (à la différence des personnes « Jugement ») face auxquelles elles se distinguent par leur grande flexibilité.

Les profils « artisans » considèrent les règles comme des entraves… Entraves à l’expression de leur potentiel.

Résolument optimistes, ils sont généralement confiants en l’avenir.

Sur le plan statistique, on estime qu’ils représentent entre 25 % et 30 % de la population.

C’est le tempérament de l’entrepreneur par excellence ! Le fait de ne pas avoir peur de risquer et leur soif du non conventionnel sont les deux principales caractéristiques qui l’expliquent.

Leur fonction Sensation fait vraiment des personnes appartenant à ces 4 profils, des êtres résolument tournés vers l’action et le fait de faire.

Sur le plan professionnel on retrouve de façon logique un grand nombre d’entrepreneurs, d’artisans et de différents métiers orientés « résultats » (commerciaux etc.).

Vladimir Poutine, Winston Churchill, Léonardo Di Caprio ou Mickael Jackson sont (ou étaient) des représentants des 4 profils psychologiques des artisans.

d) Les Gardiens (du changement)

Le quatrième regroupement de profils que le psychologue américain David Keirsey avait baptisé, est connu sous le nom de tempérament des gardiens (sous-entendu du changement).

Cette famille de profils est la plus représentée des 4 rassemblant entre 40 % et 45 % de la population.

Comme leur nom l’indique, les individus la composant sont peu enclins à l’évolution mais se distinguent par leur volonté de préserver le cadre existant.

Les 4 types MBTI de ce groupe ont tous en commun d’être sensitifs (de recueillir les informations avec leurs 5 sens en priorité) et parallèlement d’avoir un état d’esprit dans le Jugement (au niveau de leur style de vie).

Particulièrement à l’aise dans la répétition, ce sont des individus qui vivent dans le concret.

Ils sont réalistes, ont bien les pieds sur terre et se distinguent par leur sens de l’organisation.

La contrepartie de ces caractéristiques est que les personnes de ces 4 profils psychologiques sont vite déstabilisées par les changements brutaux de leurs repères.

Ayant un fort sentiment d’appartenance au groupe, ils sont très attachés aux valeurs morales de loyauté et de respect des traditions.

Dans le monde professionnel, on trouve de façon logique beaucoup de personnes de l’un de ces 4 profils dans l’administration, la justice ou l’enseignement par exemple. Le point commun de toutes ces professions est qu’elles renvoient au maintien du cadre existant.

La conséquence induite par le fait que les personnes de ce tempérament soient les plus nombreuses, est que ce sont elles qui influencent le plus la Société, au moins dans ses fondements d’organisation. Nous pouvons dire que notre Société moderne est un monde créé par et pour les SJ (gardiens du changement).

Parmi les « gardiens » célèbres on peut citer le pape François, le dictateur Augusto Pinochet, la princesse Kate Middleton ou le fondateur d’Amazon Jeff Bezos par exemple.

Conclusion

En matière de développement personnel, il existe vraiment un tas d’instruments à notre disposition si nous désirons travailler à devenir de plus belles personnes. Le MBTI via la compréhension de ses préférences psychologiques en fait partie.

Au travers de cet article j’espère vous avoir fait comprendre que n’importe  quel individu dispose inévitablement à la naissance d’un potentiel incroyable.

L’enjeu ne se situe donc pas au niveau du fait de savoir si nous sommes « bénis des Dieux » ou non, mais plutôt de définir notre chemin de croissance, d’évolution, en fonction de nos qualités et de nos points faibles.


L’AUTEUR

Je me prénomme Nicolas, et mon but dans la vie est de démocratiser un outil de découverte de soi, incroyable : le MBTI. Grâce à lui j’ai osé partir faire le tour de l’Amérique du Sud avec mon sac à dos pendant 10 mois, alors que que j’aimais mon confort, que j’étais casanier et pas aventurier pour un sou… J’ai appris d’où me venaient mes peurs, j’ai travaillé dessus et j’ai pu vivre ce qui reste à aujourd’hui la plus formidable année de toute ma vie !


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Hygiène de vie Podcast Psychologie

Pourquoi le Temps Semble S’Accélérer Avec l’Âge ?

Déjà mi-août, l’été est presque fini !

Le temps semble passer de plus en plus vite.

Quand j’étais enfant, l’été était une période longue, dense, remplie d’évènements qui me touchaient.

Et maintenant, j’ai l’impression que les semaines courent et que cela va de plus en plus vite. 

Et j’avoue que ça peut-être un peu flippant, car parfois j’ai l’impression que je m’approche de plus en plus vite de ma destination finale !

Vous avez peut-être vous aussi ressenti cela ?

Et vous vous êtes peut-être posé la question : pourquoi lorsque l’on prend de l’âge, on a cette impression que le temps passe de plus en plus vite ?

C’est ce que je vous propose d’explorer dans cette vidéo.

Dans cet épisode on va voir :

  • Pourquoi on a l’impression que le temps passe de plus en plus vite.
  • Je vous parlerais de deux théories qui associent le fait de vieillir avec un changement de la perception du temps qui passe.
  • Et on verra aussi la cause principale à cette fuite en avant du temps. La bonne nouvelle, comme vous avez le voir, c’est que l’on peut agir dessus.

Voir le temps semble s’accélérer sur YouTube.

Podcast Pourquoi le temps semble s’accélérer avec l’âge ?

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Hygiène de vie Podcast Psychologie

MINIMALISME : Pourquoi vivre une vie simple est si compliqué ?

Contentez-vous de ce que vous avez, réjouissez-vous de la façon dont les choses sont. Quand on se rend compte que rien ne manque, le monde entier vous appartient.

Lao Tseu

Avoir moins de stress, être moins sollicité, être moins encombré mentalement et matériellement.

Et avoir plus de temps, de disponibilités, de simplicité.

Je pense qu’on souhaite tous cela.

Dans cette vidéo, on va regarder du côté du MINIMALISME qui est un art de vivre qui a pour but de nous aider à nous rapprocher d’une vie plus simple et mieux remplie.

Et l’on besoin de cette aide, car, comme on va le voir, amener plus de simplicité dans sa vie, ce n’est pas si simple.

 Dans cette vidéo :

  • On parle du minimalisme extrême !
  • Mais surtout du minimalisme modéré qui est plein de bon sens.
  • On verra comment commencer à l’appliquer même lorsque l’on a une maison et un quotidien surchargés.
  • Et je vous fais visiter mon nouveau bureau … que j’adore :)

Voir le MINIMALISME sur YouTube.

Podcast MINIMALISME : Pourquoi vivre une vie simple est si compliqué ?

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Méditation Guidée Podcast

Méditation Apaiser le Mental

Durant les 5 jours qui viennent, je vous propose que l’on fasse ensemble une séance de méditation quotidienne pour apaiser le mental.

Il vous suffira de vous installer et de vous laisser guidée durant la séance de ce soir qui dure 16 minutes. 

Voir Méditation Apaiser le Mental sur YouTube.

Podcast Méditation Apaiser le Mental – J1

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Persévérer Dans la Méditation Podcast Préparer le Mental

Arrêter de Procrastiner

Mon Gourou Est PsychoRigide

Est-ce qu’en ce moment vous avez tendance à procrastiner ?

Vous avez des projets que vous remettez sans cesse à plus tard, ou des tâches qui trainent depuis bien trop longtemps ?

Et à chaque fois que vous essayez de vraiment vous y mettre, que vous vous mettez un coup de pression, vous vous videz de votre vitalité et de votre motivation, comme un ballon se dégonfle lorsqu’il est pressé.

Tout d’abord, j’aimerais vous dire que se forcer à agir ne marche généralement pas. Tout ce que vous allez obtenir est un cocktail de déception et de frustration avec un soupçon de culpabilité.

Et à force d’avoir de faux départs, on se sent découragé et bloqué.

Je connais bien ça.

Moi, ce qui m’a finalement aidé, c’est d’avoir appris à négocier avec mon inconscient.

Lorsque je veux mettre en place un changement qui nécessite plus de rigueur dans un domaine de ma vie, je dois lâcher du mou dans un autre domaine de ma vie.

Si j’arrive maintenir un équilibre global entre rigueur et souplesse, cela devient beaucoup plus facile de mettre en place des changements et de se libérer de la tendance à procrastiner.

C’est ce que je vous propose de découvrir dans cet épisode.

Vous allez voir que :

  • Mon enseignant de méditation est parfois bien rigide !
  • La dynamique rigidité / souplesse et leur impact dans les sociétés à travers le monde.
  • Comment appliquer un bon équilibre rigueur / lâcher-prise pour aller de l’avant dans ses projets.

Voir Arrêter de Procrastiner sur YouTube.

Podcast Arrêter de Procrastiner

LIENS MENTIONNÉS

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La Psychologie Positive

À ses débuts, la psychologie s’est surtout concentrée sur le traitement des troubles mentaux. Les thérapeutes avaient pour objectif d’aider les personnes à moins subir leurs souffrances mentales. Puis dans les années 60, Abraham Maslow, chercheur et psychologue, suggère d’étudier aussi les facteurs qui améliorent l’expérience d’un homme ou d’une femme. Il considère que la qualité de la vie ne dépend pas uniquement de l’absence de maladies mentales et qu’il est important d’aider l’individu à s’épanouir pleinement. Ses théories n’ont pas reçu à l’époque, l’aval de la profession.

Écouter la Psychologie Positive

Croissance de la psychologie positive

Ce n’est qu’à partir de la fin des années 90 que le concept de psychologie positive gagne de la traction. Martin Seligman, qui en 1998 fut élu président de l’Association Américaine de Psychologie, décide alors de se consacrer à la promotion et au développement de ce nouvel aspect de la psychologie.

Définition de la psychologie positive

La psychologie positive est l’étude scientifique des forces, du fonctionnement optimal et des déterminants du bien-être.  Ce champ de la psychologie vise à mieux cerner ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue. (Wikipedia)

Depuis cela, des dizaines d’études scientifiques ont été conduites sur l’amélioration de la qualité de vie. Elles ont révélé que le bien-être ne se limitait pas à l’absence de maladie, de dépression ou d’anxiété. L’être humain, lorsque son besoin de sécurité est assuré, aspire à plus. Il recherche alors à répondre à ses questions:

  • Ai-je quelque chose de particulier à contribuer au monde?
  • Quels sont mes talents?
  • Qu’est-ce qui me passionne? Qu’est ce que j’aime réellement?

Cette aspiration à vivre pleinement et à donner du sens à sa vie a depuis longtemps, bien avant l’avènement de la psychologie positive, fait réfléchir les hommes.

William James, philosophe américain, écrivait au XIXe siècle:

La plupart  des gens vivent, que ce soit physiquement, intellectuellement ou moralement, très en dessous de leurs capacités. Nous avons tous des réserves, dont nous ne soupçonnons pas l’existence.

La vie ne se limite pas à la recherche de confort ou de sécurité. Cela serait bien triste, et le monde n’évoluerait pas. Chaque personne porte en elle de grandes capacités qui ne cherchent qu’à s’exprimer.

La psychologie moderne, mais aussi les méthodes de retour vers soi telles que la méditation, nous aident désormais à mieux nous comprendre et à aller plus loin dans la recherche de sens. Êtes-vous prêts à explorer quelle est votre raison d’être?

Pas le bon moment

Certaines personnes ne se sentent pas suffisamment « stables ». Elles attendent d’êtres plus riches, ou du moins d’êtres moins pauvres, d’avoir plus de temps. Elles veulent avant tout ne plus avoir de stress et/ou ne plus se sentir déprimées. Et si, comme la recherche sur la psychologie le montre désormais, il fallait plutôt se concentrer sur ce que l’on a à contribuer au monde, sur notre raison d’être.

poser sa pierre

Donner du sens à son quotidien est la voie la plus rapide pour retrouver confiance en soi, gagner en vitalité et reprendre plaisir à la vie.

La version texte de ce post a été initialement publiée le 19/08/15

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Podcast Psychologie

Syndrome de l’Imposteur

Lorsque l’on se lance dans un nouveau projet qui comporte des interactions avec les autres, on peut parfois ressentir le syndrome de l’imposteur.

Assumer une plus grande responsabilité dans son entreprise, proposer des services payants, ou même parfois commencer une nouvelle relation de couple peut amener avec le sentiment d’être un imposteur, de ne pas être à la hauteur ou assez qualifié pour ce que l’on propose.

On n’est pas sûr de pouvoir répondre à l’attente des autres ou de pouvoir délivrer ce que l’on offre.

Cela peut être une situation inconfortable, car cela nous empêche de nous investir pleinement dans notre nouveau projet ou dans notre nouvelle relation. On risque d’y aller à reculant ou même de s’autosaboter, car l’on ressent un conflit interne.

Comment faire pour dépasser le syndrome de l’imposteur. Vous allez découvrir dans cet épisode les 3 éléments à comprendre pour dépasser le syndrome de l’imposteur.

Vous allez voir que:

  1. C’est naturel et nécessaire de ressentir au début le sentiment de ne pas être à la hauteur.
  2. L’importance d’observer et de continuellement apprendre.
  3. L’importance d’offrir un échange équitable.

Écouter « Le Syndrome de l’Imposteur »

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Méditation Introspective Podcast

Se Libérer du Poids des Ancêtres

Cet épisode est le premier d’une série sur la Méditation Introspective.

En cette rentrée, j’aimerais vous proposer une série d’épisodes sur l’importance de regarder profondément en soi pour se libérer de ses blocages et pour accéder à ses ressources.

On verra comment la méditation introspective va aider à mieux comprendre nos blocages, nos contradictions, nos peurs, notre stress et nos désirs insatisfaits.

Et on verra aussi comment cela aidera aussi à libérer les qualités, les ressources, et les forces que l’on porte en soi.

Écouter « Se Libérer du Poids des Ancêtres »

Ou lire la retranscription ci-dessous…

Méditation introspective, qu’est ce que cela veut dire?

L’introspection c’est l’acte de regarder en soi, d’observer nos pensées et nos ressentis. La méditation permet de faire cela plus facilement. Car l’on va pouvoir maintenir notre attention plus pleinement, plus longtemps sur des aspects de notre fonctionnement interne qui sont généralement flous et peu connus.

Êtes-vous prêt à plonger dans cette exploration?

On va parler du poids inconscient de l’héritage familial, des croyances que cela engendre et de comment faire pour les dépasser.

Ma part d’ombre

Personnellement, j’ai longtemps fonctionné avec une grande part d’obscurité en moi.

Ici, obscurité n’est pas utilisée pour illustrer quelque chose de mal ou de négatif, mais simplement comme absence de lumière et de connaissance. Car comme on va le voir, mettre en lumière nos fonctionnements internes, c’est pouvoir les voir et les comprendre.

Une part de cette obscurité interne m’empêchait de voir une grande incohérence en moi: celle de vouloir recevoir sans donner.

Comme un enfant gâté qui a l’impression que tout lui est dû, j’ai longtemps cru qu’il suffisait de vouloir pour recevoir.

Être un bon garçon

Je suis fils d’émigrés. Mes parents ont dû quitter à contrecœur leur pays en guerre. Ils ont vécu leur nouvelle vie en Europe comme une douloureuse séparation.

Ils se sont fermés sur eux-mêmes, sur leur culture et leurs traditions. Très tôt, j’ai appris qu’il fallait adopter les règles familiales et se méfier de l’extérieur. J’ai découvert qu’il me suffisait d’être un « bon garçon » pour recevoir une abondance d’amour et de soutien, qu’exprimer ou même ressentir des idées étrangères risquait de faire souffrir mes proches.

J’ai longtemps entretenu cette croyance. Dans le monde « extérieur » – à l’école, en tant qu’adulte-, je croyais qu’il suffisait d’être une bonne personne pour recevoir ce que l’on souhaite. Mais la réalité fut autre: les filles qui me plaisaient n’étaient pas intéressées par moi, les interviews ne se concluaient pas par une embauche, l’argent ne venait pas facilement.

Mon problème c’est que je voulais recevoir sans donner. Je faisais cela de manière inconsciente, car je ne savais pas donner.

Incapable de donner

On ne peut, en effet, donner que ce que l’on a. Et la seule chose que l’on a, qui nous est propre, c’est notre perception unique du monde, c’est notre individualité.

Être capable de donner c’est être capable d’exprimer nos ressentis et nos pensées avec authenticité.

Or, pour moi, s’exprimer était associé au fait de faire souffrir mes proches. Enfant, j’avais appris que faire ce que l’on attendait de moi était plus important que d’exprimer ce que je ressentais.

Adulte, j’ai gardé cette croyance qu’il était plus important de faire plaisir que d’être vrai, et en ne donnant que du paraitre, du superficiel je recevais la même chose en retour.

Lorsque j’ai mis en lumière cette croyance erronée – pour être aimé, il faut faire plaisir plutôt que s’affirmer -, j’ai pu, peu à peu, m’en défaire.

Aujourd’hui, je sais que s’exprimer avec authenticité et avec implication, en d’autres termes s’affirmer, est ce que l’on a de plus précieux, de plus vrai à offrir.

Ce changement de comportement a donc nécessité une mise en lumière de cette croyance profondément ancrée en moi. Voir clairement ce mode de fonctionnement m’a permis de réaliser qu’il n’était maintenant plus adapté pour moi en tant qu’adulte et qu’il m’empêchait d’exprimer pleinement mon individualité.

Ce que l’on vient de voir est un exemple d’une mise en lumière d’une croyance limitante et néfaste et des changements que cela peut apporter.

On possède tous notre lot de croyances dont on ne perçoit que le bout, mais dont la plus grande partie reste dans l’obscurité.

Ces croyances deviennent comme des chaînes qui nous rattachent à de vieilles peurs familiales et qui nous empêchent de nous épanouir en tant qu’individu créateur de sa vie.

Ces croyances inconscientes ont plusieurs attributs, elles sont:

  • héritées de notre famille
  • fondées sur un besoin de survie
  • limitantes et parfois destructives

L’héritage familial

On grandit tous dans un environnement particulier. Cet environnement modèle notre perception du monde. Ce que j’entends par héritage familial ce sont les valeurs et croyances, conscientes et inconscientes, auxquelles l’enfant est exposé. Ce sont les croyances des parents, de la famille, des ancêtres, du village, du pays, de la religion et des anciennes croyances.

Toutes ces influences créent chez l’enfant les notions de bien et de mal, de souhaitable et de néfastes.

Plus profondément, ces croyances, coutumes et traditions, émanent avant tout d’une nécessité de survie.

La suprématie de la survie

Pendant l’immense majorité de son existence, l’être humain s’est principalement soucié de sa survie: manger suffisamment et ne pas se faire manger.

Il a découvert qu’en vivant en groupe ses chances de survie étaient plus importantes.

Les groupes sont devenus de plus en plus grands et ils ont nécessité la création de règles communes pour optimiser la survie.

La morale, les systèmes politiques et économiques, les religions, l’éthique, les traditions, les us et coutumes, les royaumes, les nations ont tous à leur origine la nécessité de survie des individus du groupe: manger suffisamment et éviter de mourir d’une mort violente.

La culture familiale porte en elle ces systèmes basés sur la nécessité de survie, mais comme on va le voir, ces systèmes ne sont pour la plupart plus appropriés à notre époque ou à l’évolution de l’être humain.

Anciennes peurs et croyances obsolètes

Si je reprends l’exemple de mes parents qui considèrent l’adhésion aux valeurs de la famille plus importante que l’expression individuelle. Mes parents ont hérité cela des leurs, qui l’ont hérité des leurs et ainsi de suite. Et il y a 200 ans, ce mode de fonctionnement était en effet nécessaire pour la survie des membres d’une famille.

Le groupe était plus important que l’individu. Un fils ne pouvait prendre le risque de suivre une voie différente de celle de ses proches. Le fils de paysan devenait paysan, le fils de religieux devenait religieux, le fils d’artisan devenait artisan.

Partir suivre une carrière d’artiste comprenait le risque de se retrouver à la rue, sans le sou, et les risques de mourir de faim, de froid, de maladie ou de violence étaient décuplés.

À cette époque, exprimer son individualité portait un réel de risque de mort.

De même, il y a 200 ans, une jeune femme qui décidait de partir avec un homme du village voisin contre l’avis de ses parents risquait de raviver de vieilles querelles et causer la mort de plusieurs personnes.

Les systèmes hérités de nos ancêtres avaient à une époque une vraie utilité de survie.

Or aujourd’hui, un fils de médecins qui décide d’arrêter ses études au lycée pour devenir un chanteur risque de décevoir ses parents, mais il ne se met pas en danger de mort.

Une jeune femme ou un jeune homme qui décide de se marier en dehors de sa communauté va faire froncer les sourcils des plus anciens, mais ne va généralement pas déclencher une succession de règlements de compte sanglants.

Mais malgré cela, au niveau inconscient on continue à attribuer à ces croyances un danger de mort, et l’on ressent une réelle angoisse lorsque l’on cherche à confronter ou à dépasser ses héritages familiaux et culturels.

Qu’est ce que l’on a vu dans cet épisode

L’héritage familial, culturel, social nous limite de l’intérieur. Si à une époque ces règles étaient nécessaires à la survie, elles le sont de moins en moins aujourd’hui, et il va falloir s’en libérer pour continuer notre évolution personnelle.

On va voir dans les prochains épisodes comment la mise en lumière de ces croyances nous permettra de les dépasser.

On verra que lorsque l’on observe de plus près nos croyances, que l’on creuse pour voir ce qui se cache derrière, on découvre que ces croyances reposent sur la peur de mourir, sur la peur de se retrouver seul.

On verra aussi que la mise en lumière d’une croyance nous en libère, car l’on comprend au niveau intellectuel, mais surtout l’on ressent au niveau corporel, que le danger n’est pas réel, que c’est juste l’écho de la mémoire de nos anciens et de leurs peurs primitives.

On verra aussi d’une manière plus spécifique comment la méditation introspective nous aidera à faire face à notre manque de confiance et à nos incohérences du type:

  • J’aimerais trouver l’amour, mais je ne m’ouvre pas à l’affection d’un/d’une autre.
  • J’aimerais gagner plus d’argent, mais je n’aime pas la société de consommation.
  • Je veux m’affirmer davantage, mais je n’aime pas exposer ce que je ressens.
  • Je veux recevoir davantage, mais sans donner davantage.
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Podcast Psychologie

Pourquoi le Manque de Volonté?

« La volonté est une ressource limitée, mais renouvelable. »

Écouter Pourquoi le Manque de Volonté

Dans cet épisode du podcast, on va découvrir:

  • Pourquoi on surestime notre volonté
  • Le rapport entre volonté et gratification immédiate
  • Pourquoi il faut éviter le soir les grandes discussions de couple
  • Le machiavélique test du marshmallow!

Références: The One Thing de Gary Keller, Walter Mischel étude.

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Podcast Reprendre Confiance en Soi

Qui Ne Demande Pas, Ne Reçoit Pas

« Lorsque l’on fait une demande, il y a la possibilité d’avoir un « non ». Mais si l’on ne demande pas, le non est certain. »
J’ai enfin réussi à obtenir un jour de congé en plus par semaine. Pendant ces derniers mois, je travaillais 6 jours par semaine dans 4 cliniques chiropratique éparpillées à travers Bangkok.
Ce jour de congé en plus fait une grande différence. Plus de temps pour souffler et pour profiter de la Thaïlande, mais aussiplus temps pour écrire et partager sur le blog.
Écrire est un « travail » que je peux facilement concilier avec mon jour de repos que ce soit dans un café ou dans un parc.
Cette nouvelle situation m’a rappelé un concept simple « si l’on ne demande pas, on ne risque pas de recevoir. »

Écouter « Qui Ne Demande Pas, Ne Reçoit Pas