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Podcast Préparer le Mental Question/Réponse

Comment Lâcher Prise Lorsque l’On Est Débordé?

Dans ce nouveau podcast / vidéo, je réponds à la question d’une lectrice qui aimerait savoir comment lâcher prise lorsque l’on se sent débordée par son travail et sa vie de famille.
Elle note
J’aimerais pouvoir lâcher prise, mais je n’y arrive pas. Très sollicitée de toute part, au travail comme à la maison. Impossible de me relaxer, je suis tout le temps sur les nerfs. Je n’arrive pas à méditer. Je pense trop à mes tracas du quotidien.
Marie-Pierre Funosa participe aussi à la réponse.

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Par Moutassem

Depuis 2012, j'enseigne la méditation et j'anime le podcast Pratiquer la Méditation. Mon premier métier est celui de chiropraticien où j'ai appris l'importance d'être connecté au corps. La méditation est venue naturellement après. Cela a changé ma vie : plus de stabilité émotionnelle, plus de confiance dans mon rapport aux autres et plus de joie au quotidien. Partager les bienfaits de cette pratique est ce que j'aime le plus faire. Durant ces 10 dernières années, j'ai publié plus de 550 épisodes en libre accès (vus ou téléchargé +3millions de fois). J'enseigne la méditation dans les écoles d'études supérieures, en entreprises et auprès du public. Je propose également des accompagnements individuels. Au plaisir de vous accompagner dans votre exploration de la méditation !

7 réponses sur « Comment Lâcher Prise Lorsque l’On Est Débordé? »

Merci MOUTASSEM. t’as tout dit!!Christine est sur la bonne voie!! !La prise de conscience, c’est le premier pas!! les solutions vont apparaître!!Si!Si !!!!Marijo

Merci beaucoup, Marie Pierre et Moutassem, pour vos précieux conseils.
Vos réponses me permettent d’expliquer ce que je ressent au niveau physique comme physiologique et me rassurent. Par les différentes pistes que vous m’avez indiquées, je vais réfléchir aux rituels quotidiens que je vais tenter de mettre en place pour me reconnecter à mon corps. Effectivement, j’anticipe beaucoup trop l’avenir et le vois sous un jour tellement angoissant que mon corps est en état d’alerte permanent et reste crispé même la nuit. Je vais tenter d’utiliser huile essentielle de marjolaine pour me relaxer, comme l’a indiqué Marie Pierre et faire de petite méditation régulière. Je vais tenter de profiter pleinement du moment présent, la vie est merveilleuse. Se focaliser et se projeter dans un futur angoissant nous fais passer à côté des belles choses déjà existantes et a portée de mains.
Comme Marijo l’a indiqué plus haut, « la prise de conscience c’est le premier pas » . Par vos réponses et conseils éclairés vous avez déjà grandement contribués à mon mieux être.
un grand merci à vous, je me sent déjà ressourcée et prête à aller de l’avant :))

Merci beaucoup pour cette vidéo que je trouve très pertinente. Nous sommes nombreux à ressentir ce débordement et nous nous sentons bien souvent impuissant, cherchant sans cesse LA solution à notre mal être. Je suis moi même sur le chemin de cette libération, je n’ai pas encore réussi à tout résoudre, mais aujourd’hui ce n’est plus vraiment un problème. J’essaie d’appliquer dans ma vie, ce que j’appelle  » le principe de non résistance ». C’est une attitude de vie que j’ai découvert dans le bouddhisme zen et qui m’apporte beaucoup. En effet, lorsque un problème surgit, j’essaie de le regarder, de l’observer, et surtout de l’accepter. Aussi, je ne me dis pas que c’est un problème, mais que c’est une situation qui se présente à moi et que je doit gérer. Voilà ma petite contribution, j’espère qu’elle pourra aider certaine personne. Sandrine

Merci pour ces conseils qui sont valables pour nous tous !

J’aime les petits rituels quotidiens qui sont tellement plus efficaces qu’une semaine en thalasso après une année entière de tensions accumulées héhé…par exemple.
Nous souhaitons pour nos santés mentale et physique de l’harmonie sur la durée. Qui passe obligatoirement par de petites attentions cumulées. De bonnes habitudes quoi ;-).

J’avais pour habitude de regarder le sommet de la montagne avec beaucoup d’angoisses, en me demandant comment j’allais l’atteindre…alors que je n’avais pas encore franchi le premier ruisseau qui se trouvait à mes pieds, et qu’il me suffisais d’enjamber. À méditer…

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