Quelle est l’histoire de votre vie? Et surtout, est-ce que cette vision du monde vous soutient-elle ou bien vous accable-t-elle? C’est ce que je vous propose de découvrir dans cet épisode.
On construit le film de sa vie en puisant des extraits de son passé. Parmi des milliers d’expériences, on va choisir celles qui correspondent le mieux à l’histoire que l’on va se raconter et raconter aux autres. Mais il s’agit bien d’une histoire et non pas de la réalité. Bien souvent, on se laisse définir par une vision étriquée de qui l’on croit être.
Découvrez dans cet épisode l’importance de se rappeler qu’il est toujours possible d’allumer la lumière pour se sortir de notre film personnel lorsque ce dernier devient angoissant ou déprimant.
Quel est le rapport entre ces 4 films: Avatar, Matrix, Dancers in the Dark, Eternal Sunshine of the Spotless Mind? Découvrez la réponse dans la vidéo.
Une discussion avec Arnaud Guétcheu qui a fait deux longues retraites de plusieurs années dans un temple bouddhiste. Il nous parle de son expérience et de sa vision de la méditation.
Lama Arnaud Guétcheu a découvert le bouddhisme en 1991 et accompli 2 longues retraites (2000/2001 et 2003/2007) dans la tradition himalayenne sous la direction d’un maître bhoutanais, dont la traditionnelle de 3 ans et 3 mois à l’issue de laquelle il a débuté une activité de transmission.
Il partage cette belle science de l’esprit à tous publics, en particulier via le site TERRES DE REPOS. Il a initié la création de l’Auberge des Bons et Vertueux, un lieu d’hébergement-retraites à Bodhgaya, la petite ville indienne où le Bouddha a atteint l’éveil.
Arnaud est aussi directeur de L’Ecole des Soleils, une petite école en Inde à deux pas de Bodhgaya.
« Être libre c’est pouvoir se focaliser sur les parties de notre vie qui apportent du bien-être. » – Claire Escala
Claire Escala, titulaire d’un doctorat en recherche biologique, a travaillé 15 ans dans la recherche médicamenteuse. Malgré une carrière toute tracée, elle a ressenti le besoin de réévaluer la direction qu’elle souhaitait donner à sa vie.
Après plusieurs stages en développement personnel, Claire éclaircit ce qui est vraiment important pour elle: se faire du bien naturellement et aider les autres à en faire de même. Elle met alors son activité dans le monde du médicament en arrêt pour pouvoir se consacrer à sa vraie passion: trouver la liberté de suivre une voie qui permet de s’épanouir et partager son parcours avec les autres.
Elle crée un blog où elle partage ses découvertes. Dans cet entretien, on parle avec Claire de sa transition professionnelle, des doutes qu’elle a ressentis, et de comment elle a fait pour les dépasser.
Dans la série Comment Méditer, j’aimerais présenter dans cet article 5 nuisances qui m’ont affecté lors de certaines séances de méditation. Ces 5 obstacles peuvent être évités grâce à un peu de préparation.
Faire un gros repas juste avant de méditer n’est pas une bonne idée. La digestion prends de l’énergie et un ventre trop plein peut causer de l’inconfort. Évitons donc de faire une séance trop tôt après avoir mangé. De même, avoir le ventre qui gargouille à cause de la faim peut être une source de distraction. Personnellement, si j’ai trop faim, je sais que je me sentirais agité lors d’une séance de méditation. Dans ce cas, manger un fruit avant la séance peut suffire à apaiser la faim mais sans se sentir lourd.
2. Avoir chaud ou froid
Préparer son environnement pour faire en sorte que l’on s’y sente bien est une évidence. Aérez la pièce où vous êtes si nécessaire. Garder un vêtement auprès de soi au cas où l’on risque d’avoir froid est une bonne idée. Il m’est arrivé en hiver de me lever tôt le matin pour méditer – en teeshirt car je gardais encore la chaleur du sommeil – et de devoir arrêter car soudainement le froid m’enveloppait. Un vêtement à portée de mains évitera de devoir interrompre sa séance.
3. Se sentir trop fatigué(e)
Méditer lorsqu’on se sent fatigué risque de nous mettre dans une trop grande torpeur. Si lors d’une séance je commence à piquer du nez je préfère arrêter et faire plutôt des exercices de respiration ou bien…une sieste. Il est donc utile de choisir un moment dans la journée où l’on ne sent pas trop engourdit pour pouvoir méditer.
4. S’inquiéter d’être dérangé(e)
Si lorsque vous méditez vous ressentez qu’à tout moment une personne peut entrer dans la pièce, vous risquez de garder une tension en vous. Préparez le terrain. Informez vos proches de ne pas vous déranger ou isolez vous dans un endroit où vous serez tranquille. Il faut noter que parfois on peut être pudique et ne pas aimer l’idée d’être observé entrain de méditer (surtout lorsqu’on débute la méditation). Si c’est votre cas, il sera d’autant plus important de choisir un cadre où vous vous sentez à l’aise.
5. Vérifier sa montre
Vous décidez de méditer 20 minutes. Vous vous installez dans la position qui vous est la plus confortable et vous amenez votre attention sur votre respiration. Au bout de quelques minutes vous jetez un rapide coup d’œil sur votre montre pour voir où vous en êtes. Parfois 5 minutes semblent durer une éternité, et d’autre fois les minutes passent sans qu’on les sente. Si l’on doit sans cesse interrompre sa méditation pour regarder l’heure on ne pourra pas profiter pleinement de sa séance. Une solution simple consiste à utiliser un minuteur (la plupart des téléphones portables ont cette fonction) pour pouvoir s’adonner pleinement à sa méditation sans se soucier du temps.
Prévenir ces 5 obstacles permettra de profiter des meilleures conditions pour une bonne séance de méditation. Avec le temps, il est possible d’intégrer à son ressenti les sensations d’inconfort (douleurs, froid, faim), de ressentir leur énergie sans se crisper et essayer de les fuir. Mais lorsqu’on débute la méditation, il est recommandé d’éliminer au mieux les sources de distractions. Comme le dit l’expression «on apprends à naviguer par temps calme».
La position de méditation immobile peut devenir douloureuse. Vous avez peut-être expérimenté cela: après un moment de méditation, une tension apparait dans une partie de votre corps (genou, cheville, dos…); cette tension se transforme en douleur.
La douleur kidnappe alors votre attention. Et les pensées du type « ça fait mal, combien de temps ça va durer encore, je crois qu’il faut que je bouge, etc » viennent perturber votre concentration.
La première étape consiste à s’assurer que vous êtes installé dans une posture qui vous convienne: la bonne hauteur au niveau de l’assise permettant une bonne position du bassin, les genoux et les chevilles pliés dans une amplitude en accord avec votre souplesse, pour ne citer que ces deux points.
En règle général si la posture est douloureuse dès les premières minutes de la séance, c’est qu’elle ne vous convient pas ou qu’elle doit être ajustée.
Cependant, si vous commencez à ressentir des tensions ou des douleurs après une dizaine de minutes, cela est normal. Dans cet épisode, qui est un extrait tiré du livre Apaiser l’Esprit, vous allez voir comment gérer la douleur lorsqu’elle apparaît durant une séance de méditation.
CAISSON DE FLOTTAISON: Aussi appelé caisson d’isolation sensorielle ou caisson de privation sensorielle, le caisson de flottaison est une sorte de cocon clos dans lequel on s’allonge pour flotter dans une solution de sulfate de magnésium (sel d’Epsom) à la température du corps. Aucun stimulus extérieur ne vient solliciter les sens : pas de lumière, pas de son, et une disparition de la sensation de pesanteur. (def. wik)
Vivre le moment présent nécessite de renouveler sans cesse l’attention à ce qui se déroule dans l’instant.
Tant que l’on pédale, on avance sur son vélo. Si l’on s’arrête de pédaler, on finit par ne plus avancer. De même, tant que l’on est attentif à nos ressentis on reste connecté au moment présent et l’on profite de cet état libre de tension. Si l’on perd cette connexion, les sentiments de stress et d’insatisfaction finiront par refaire surface.
Découvrez dans cet épisode comment vivre le moment présent est similaire à faire du vélo.
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Si l’on branchait des haut-parleurs à notre mental, on nous prendrait certainement pour des fous. Que l’on le réalise ou pas, notre mental est tout le temps actif. Les pensées se succèdent et se répètent, tout au long de la journée.
Ce langage incessant crée une tension continue en soi, tension qui peut facilement se transformer en stress et en anxiété.
Méditer permet de prendre conscience de ce fonctionnement et de s’en libérer petit à petit. En canalisant l’attention sur la respiration, on va réaliser à quel point notre attention est volatile et aime à se perdre dans les pensées.
Découvrez dans cette vidéo faite à Bangkok en Thaïlande pourquoi nous sommes tous un peu fous. On va voir:
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