Catégories
Apprendre à Relativiser Communiquer La Compassion

Relation Toxique, Comment Gérer?

Comment gérer une relation toxique, comment faire face à une personne qui nous pèse et qui nous empêche d’être bien et de nous épanouir?

Dans cette vidéo, vous allez découvrir quelles sont LES 2 QUESTIONS QUE L’ON DOIT SE POSER lorsque l’on a à gérer une personne toxique.

Gérer Une Relation Toxique

Gérer une Relation Toxique (podcast)

Retranscription de la vidéo Relation Toxique

Comment gérer une relation toxique, comment faire face à une personne qui nous pèse et qui nous empêche d’être bien, de nous épanouir?

Cet épisode est en réponse à plusieurs questions qui m’ont été posées par des lectrices et des participants à la formation Méditer Aujourd’hui.

Bonjour, j’aime vos podcasts qui sont très « pratico-pratiques » je trouve. Merci! J’ai une question suite à l’écoute de votre podcast: comment gérer le conflit en 3 étapes. Personnellement, lorsque je me retrouve dans une situation de conflit, j’essaye de ne jamais dire des choses blessantes (même si elles me paraissent vraies et que je les entends dans ma tête), à l’autre, afin de ne pas exacerber sa colère et rester dans une communication saine, même s’il y a un désaccord. Mais voilà, l’autre ne fait pas forcément la même chose. Et lorsque cette personne (collègue, inconnu, ami ou conjoint) commence à dire des choses méchantes étant à court de mots et laissant son égo prendre le pouvoir de la communication, je me retourne face à un dilemme… jusqu’à quel point peut-on lâcher prise et ne pas réagir à ce que l’autre nous dit en cherchant à nous blesser?

Que faire lorsque l’on est confronté et obligé de travailler avec une personne qui ne fait pas confiance. Et cherche à trouver la faut. Enfin une mauvaise personne quoi! L’affronter ou laisser couler ?

Et le 3e cas c’est une situation de couple compliquée.

Effectivement, comment faire pour gérer une personne difficile, une personne toxique, avec qui on a du mal à communiquer, à se faire comprendre.

Qu’est qu’une personne toxique?

Une personne toxique c’est une personne qui va affecter notre état d’être, car on a des liens, plus ou moins forts, avec elle. Ça peut être un collègue de travail, un conjoint(e), ou encore un membre de sa famille.

Une personne toxique, cela ne veut pas forcément dire qu’elle est malveillante ou qu’elle veut nous manipuler. Dans la majorité des cas, c’est une personne qui souffre, et qui communique sa souffrance: une personne qui passe par un épisode de dépression, qui manque de confiance en elle, qui a beaucoup de stress, ou encore qui n’a jamais appris à bien communiquer.

L’état de mal-être d’une personne toxique risque alors de se répercuter sur notre propose état.

Comment faire gérer une relation toxique?

Vous aujourd’hui, vous êtes peut être dans une dynamique de développement personnel, vous commencez à méditer, à faire un travail sur vous et vous êtes en face de quelqu’un qui n’est pas du tout dans la même dynamique. Il peut y avoir 2 préoccupations par rapport à cela.

La première, c’est de se demander comment être bien, comment pouvoir s’épanouir lorsque l’on est sans cesse au contact d’une personne qui nous plombe.

Et deuxièmement, comme la mentionné la personne qui a posé la question sur comment gérer une personne qui ne nous respecte pas, on peut se dire « si moi je développe de la tolérance, de la patience et de la bienveillance envers une personne qui est colère, qui ne respecte pas ou ne voie même pas mon point de vie, est-ce que je ne risque de me faire bouffer, qu’on abuse de moi, de ma tolérance.

Dans les 2 cas, lorsque l’on est face à une personne toxique, il y a un moment où l’on va se poser la question: comment gérer cette relation?

La réponse à cette question, comme c’est bien souvent le cas lorsqu’il s’agit d’améliorer de notre vie, ça va être de transformer notre perception par rapport à cette relation. Et on verra en détail par ce que j’entends par changer de perception.

Car en faisant cela on va pouvoir mieux prendre du recul – mentalement, émotionnellement – par rapport à cette personne et ensuite pouvoir prendre les bonnes décisions.

On va voir cela plus en détail.

On va découvrir les 2 questions qu’il faut se poser pour pouvoir transformer notre perception, et j’en ai déjà un peu parlé dans l’épisode concernant la gestion d’un conflit.

Quelles sont ces 2 questions qu’il faut se poser lors d’une relation toxique

I. Quelle est l’utilité de cette relation?

Parfois on subit tellement la négativité, le mal-être de cette personne qu’on ne voit pas d’autres alternatives à une coupure ou à une solution miracle. On espère presque que la personne disparaisse de notre vie ou qu’elle change pour qu’elle puisse nous comprendre, nous apprécier, nous aimer à nouveau.

Mais cela n’arrive que très rarement. La réalité c’est que cette personne est pour l’instant dans votre vie et qu’elle ne va probablement pas changer du jour au lendemain.

La question qu’il faut alors se poser c’est qu’elle est l’utilité d’une telle relation, c’est d’essayer d’avoir une vision plus globale.

Une autre façon de poser la question, c’est de se demander quelles seraient les conséquences si vous cassez définitivement cette relation.

Si par exemple,vous êtes en conflit avec un collègue de travail, vous pouvez quitter votre travail pour résoudre ce problème.

Mais quelles seraient les conséquences d’un tel choix ?

Si vous êtes dans une relation amoureuse compliquée, vous pouvez partir, mais à quel prix?

Ce qui est important c’est de réaliser que c’est votre choix d’entretenir cette relation.

Je peux vous donner l’exemple d’une femme, qu’on va appeler Fabienne, la cinquantaine passée et que j’ai suivi dans mon cabinet chiropratique. Elle était dans une relation compliquée avec un homme. Cet homme était divorcé, mais il continuait à très régulièrement voir cette ex-femme. Cet homme soufflait le chaud et le froid à Mathilde, et bien sûr c’était difficile pour elle, car elle ne savait pas à quoi s’en tenir.

Quand je lui ai demandé le bon côté de cette relation ou l’utilité de cette relation. Elle m’a expliqué que cela lui permettait de vivre dans un plus grand appartement, qu’elle a appris un métier grâce à lui, et que malgré la situation compliquée il y avait encore de bons moments.

L’idée c’est d’élargir le champ de vision qui a tendance à se focaliser sur le problème et voir la globalité de la situation dans laquelle s’inscrit votre relation avec cette personne.

C’est de réaliser que si vous êtes peut-être tombé dans cette relation compliquée par hasard, ou malgré vous, mais c’est vous qui aujourd’hui choisissez d’entretenir cette relation avec cette personne.

J’insiste sur ce point, car beaucoup de personnes se positionnent en tant que victime par rapport à une relation toxique, elles ont l’impression d’être impuissante, et elle subisse la situation en attendant que l’extérieur change pour ne plus en souffrir.

Mais voilà l’extérieur, les autres ne vont pas agir spontanément dans votre intérêt. Il n’y a que vous qui pouvez agir sur cela. Comme on l’a vu, vous faites le choix d’entretenir cette relation et vous pouvez aussi faire le choix de transformer votre rapport à l’autre.

J’ai insisté sur ce point, car se positionner en tant que victime, remettre la responsabilité de son bine-être sur l’extérieur sur les autres, cela ne marche pas.

La bonne nouvelle, c’est qu’on pas de besoin de changer l’autre, pour améliorer cette relation, mais plutôt de développer plus de confiance en soi, plus de clarté sur ce que l’on attend de cette relation.

II. Où se trouve la bonté de cette personne « toxique »?

Pour agir avec plus de confiance et de clarté, il faut commencer par ressentir de la compassion envers cette personne. Vous allez me dire attend Moutassem, cette personne me plombe depuis des mois voir des années, et tu me dis de ressentir de la compassion pour elle.

La réponse est oui, et je vais faire de mon mieux pour expliquer pourquoi le fait de ressentir de la bienveillance, de la compassion envers les autres est ce qui va nous permettre d’agir avec confiance et fermeté.

Mais avant ça, découvrons comment ressentir de la compassion envers l’autre.

Vous mettre à la place de la personne avec qui vous êtes en conflit.

Imaginez être cette personne, imaginez comment étaient ses parents avec elle lorsqu’elle était enfant, son éducation, la culture dans laquelle elle a grandi.

Et même si vous connaissez que très peu cette personne qui peut être un voisin, un patron, ou un client, vous pouvez faire cet exercice.

Utilisez les indices à votre disposition – son allure, sa façon de parler, son apparence physique – pour imaginer son passé et sa perspective des choses.

Il est utile de comprendre que le comportement de cette personne est lié à toute une vie faite d’expériences diverses, et on peut même aller plus loin, à la vie de ses parents. Chacun d’entre nous est modelé par notre vécu et on filtre l’expérience du monde à travers un certain conditionnement.

Lorsqu’une personne agit d’une certaine façon avec vous, ne le prenez pas personnellement. Votre comportement et votre façon d’être sont juste des éléments déclencheurs qui mettent en route son comportement qui est conditionné sur toute une vie et qui n’a rien à voir avec vous.

Prendre ce recul est une attitude que l’on peut développer avec un peu de pratique. Cela permet d’avoir des relations plus apaisée et plus mature,et c’est aussi un précurseur au sentiment de compassion.

Pour résumé, mettez-vous dans les chaussures de cette personne et dites-vous qu’elle agit de la sorte non pas à cause de vous, mais parce qu’elle est aujourd’hui cette personne qui a été modelée par les expériences de sa vie.

Vous connectez aussi à l’enfant qui est en lui ou en elle.

Pourquoi le fait de ressentir de la compassion va vous aider à agir avec confiance?

La compassion permet de moins subir une relation toxique

Lorsque l’on ressent de la compassion, on élargit le champ de notre attention. On n’est plus uniquement focalisé sur soi, sur ce qu’on ressent, sur notre inconfort, on intègre l’autre dans notre champ d’intérêt.

Et dès qu’on est moins focalisé sur notre malheur, on va sortir de notre mode défensive. Parce que lorsque l’on est seulement connecté à notre souffrance, à nos problèmes, on entretient un mécanisme de défense. Ce mécanisme de défense, c’est quelque chose qui nous garde en retrait, et qui nous empêche de nous exprimer avec confiance.

C’est un vaste sujet le lien entre mode de défense et manque de confiance, et je vous invite à lire la série de 3 articles Reprendre confiance en soi, que je mettrais sur la page de cet épisode.

Mais ce que vous pouvez retenir aujourd’hui, c’est lorsque l’on n’est plus uniquement focalisé sur soi, on va être moins sur la défensive, plus clair sur ce qui est important pour soi et capable de l’exprimer.

Mon exemple: à chaque fois que j’ai été en conflit, qu’une personne m’agacer, plombait mon moral, ce n’est que lorsque j’arrivais à mettre un peu à sa place, que j’essayais d’avoir son point de vue, que j’arrivais à me sortir de cette relation toxique. Tout se suite cela permet d’être moins vulnérable, moins réactif à l’attitude de l’autre personne,

cela aide à sortir de cette espèce de brouillard dans lequel on peut être lorsque l’on est dans une relation lourde et compliquée,

et du coup cela m’aider à percevoir les choses d’une manière claire, et me permettait de mieux communiquer mon point de vue.

Et très souvent, cela contribue à changer l’autre, même si ce n’est pas l’objectif initial. La personne en face, lorsque l’on est plus dans la compassion et moins dans la défensive, et bien cette personne elle aussi a tendance à être moins sur la défensive et plus ouverte.

C’est pas toujours le cas, parfois la personne est tellement prise dans son mode de fonctionnement qu’il n’y a pas d’échange, mais au moins si vous ressentez de la bienveillance cela vous rendra moins vulnérable.

Ressentir de la compassion c’est le meilleur moyen de moins subir cette personne.

On a vu que tout d’abord il fallait prendre conscience que l’on n’est pas une victime et qu’on est responsable de notre bien-être, et que c’est seulement nous, vous, qui pouvez agir pour votre mieux-être.

Et deuxièmement on a vu que ressentir de la compassion c’est la première étape pour moins subir l’autre et pour voir plus clairement dans quelle direction on veut amener cette relation.

Alors bien sûr, il est évident, que certaines relations soient tellement imbriquées dans notre vie, que cela ne va pas être facile ou se faire du jour au lendemain.

Mais plus la relation est compliquée et chargée émotionnellement et plus l’opportunité de vous faire du bien est grande.

Il faut savoir qu’en général on attire certaines personnes dans sa vie, car elles résonnent avec certaines parties de notre personnalité et de notre inconscient.

Si une personne est particulièrement toxique pour vous, c’est qu’elle appuie sur certains boutons dans votre être qui sont particulièrement sensibles.

Comprendre qu’est ce que cette relation vous apporte, vous mettre dans les chaussures de cette personne, essayez de vraiment communiquer avec elle vous permettra d’apprendre beaucoup sur vous même.

Liens
– Article Comment Gérer un Conflit
– Série Confiance en Soi

Par Moutassem

Depuis 2012, j'enseigne la méditation et j'anime le podcast Pratiquer la Méditation. Mon premier métier est celui de chiropraticien où j'ai appris l'importance d'être connecté au corps. La méditation est venue naturellement après. Cela a changé ma vie : plus de stabilité émotionnelle, plus de confiance dans mon rapport aux autres et plus de joie au quotidien. Partager les bienfaits de cette pratique est ce que j'aime le plus faire. Durant ces 10 dernières années, j'ai publié plus de 550 épisodes en libre accès (vus ou téléchargé +3millions de fois). J'enseigne la méditation dans les écoles d'études supérieures, en entreprises et auprès du public. Je propose également des accompagnements individuels. Au plaisir de vous accompagner dans votre exploration de la méditation !

8 réponses sur « Relation Toxique, Comment Gérer? »

Merci beaucoup pour avoir pu ainsi expliquer aussi simplement comment faire pour gérer une relation toxique. Je me rends compte depuis un moment combien les formations permettant le développement personnel me sont utiles et efficaces ! On pourrait se dire qu’il s’agit d’un phénomène de mode, peut-être, mais en tout cas, ça permet de mieux appréhender le monde qui nous entoure en apprenant à se connaitre soi-même. ETRE, être soi, exister et le savoir, c’est faciliter les relations avec les autres, qu’on les perçoive bonnes ou toxiques au départ. Personne ne changera pour moi selon mes envies ! Seule moi -même ai la capacité d’enfiler les chaussures de l’autre pour tenter de le/la comprendre et mieux accepter ce qui peut me déranger chez cette personne. Oui, développer de la compassion, c’est aidant pour ne plus souffrir des comportements qui touchent et blessent. Merci Moutassem, je me suis bien retrouvée dans ce que tu expliques…

Avec grand plaisir Christelle,
Comme tu le notes ETRE c’est la clef. Être soi à partir de soi plutôt qu’à partir des autres. Cela nous permet d’agir et d’interagir avec autrui avec plus de confiance.

Bonjour Moutassem,

Très intéressante encore cette vidéo, j’ai vu toutes les autres sur comment gérer un conflit etc…Tout est parfaitement vrai, j’ai beaucoup à dire sur ce sujet…d’abord par la relation toxique que j’entretenais avec une mère narcissique et manipulatrice qui a tenté de me détruire toute ma vie. J’ai donc décidé à un moment donné de mettre de la distance entre elle et moi, ce qui m’a permis de calmer mon « brouillard » et d’y voir plus clair dans cette relation terrible. Puis j’ai eu presque pitié d’elle en me disant qu’elle avait dû elle-même souffrir pour en arriver là. Je n’ai pas pu changer nos rapports mais j’ai pu accepter la situation et retrouver une vraie sérénité.
Ensuite dans ma vie professionnelle, j’ai eu à faire à une autre femme de la même trempe que ma mère: orgueilleuse, manipulatrice, perverse. J’ai vite reconnu le mécanisme. Au début j’étais en souffrance et je ne savais pas comment y échapper. Puis je me suis dis que je n’aimerai pas être à sa place car son comportement l’isolait, personne ne l’appréciait, et qu’elle ne devait pas être heureuse. Je suis moins rentrée en conflit avec elle et je me suis apaisée, mais ses erreurs de management m’ont permis de voir mes qualités, et aujourd’hui je vais ouvrir mon propre magasin. Ces expériences m’ont directement permises de m’élever et d’avoir suffisamment confiance en moi pour me lancer. Tout cela est très frais, et vos conseils Moutassem m’ont conforté et guidé dans ma réflexion, pleins de bon sens. Je vous recommande à tous mes amis et à tous ceux qui en ont besoin. Merci pour tout ce que vous faites, vous êtes un ange gardien de nos consciences…
Pascale

Merci Pascale pour ce partage d’expérience qui vient enrichir ce qui a été dit dans cette vidéo.
Votre attitude face à votre mère et votre collègue a nécessité et consolidé un vrai courage – celui de lâcher prise par rapport à l’autre -, qui aujourd’hui, j’en suis sûr, vous sera utile dans vos projets professionnels.
Merci pour vos encouragements et à bientôt pour de nouveaux articles!

merci, votre approche sur ce sujet est très intéressante
je m interroge sur l idée de compassion envers la personne »toxique »
« se mettre dans ses chaussures »,: ne dit on pas parfois qu il est de saine colère et que accepter
ce qui nous semble inacceptable ne se négocie pas . en cherchant systématiquement de la compassion je risque d éteindre une « juste  » indignation, plus conforme a moi même?
mais effectivement ça renvoie a l enjeu de la relation, jusqu a quel prix?
amities

Avec plaisir Gilbert,
Merci pour votre participation.
Je pense que ressentir de la compassion, où au moins de l’empathie, nous permet d’agir avec plus de clarté au lieu d’être dans la réactivité.

Cela ne veut pas dire que l’on accepte le comportement de l’autre (qui peut être nuisible pour lui même ou pour les autres) mais qu’on va agir à partir d’un état plus centré.

À la colère peut se substituer une vision bien plus claire de ce qui est important pour nous et avec, le courage, la force, et la motivation d’adresser sérieusement cette relation. Cette vision va donner comme la colère un efficace élan pour agir, mais avec l’avantage d’agir à partir de soi plutôt qu’en réaction à l’autre.

Et comme vous le notez, on décidera alors dans quelle direction on veut amener cette relation en considérant l’impact d’un tel choix.

Amitiés

Bonjour,
ce que vous dites est très vrai,
quand je travaillais en service de cancérologie j’avais souvent affaire avec des personnes en colère et agressives. je me suis rendue compte que cette colère n’était en fait pas contre moi mais contre la situation, la maladie… et que le fait de ne pas prendre cette agressivité de façon personnelle permettait d’apaiser les conflits.
c’est l’un des « accords toltèques » : ne pas prendre les choses de façon trop personnelle permet de mieux les gérer…
merci pour ces vidéos

Avec plaisir Dom,
merci d’avoir partagé votre expérience qui illustre bien l’importance de prendre du recul et de rester ouvert.

Les commentaires sont fermés.