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Faire le ménage dans sa tête, une respiration à la fois

Il nous est tous arrivé, sans prévenir, d’être envahi par une pensée négative. Cela peut commencer de manière anodine : on pense à une personne avec qui la relation est tendue, à un souvenir douloureux, ou à un événement futur qui nous stresse. La pensée s’infiltre doucement, presque furtivement, dans notre esprit.

Et puis, comme souvent, notre attention est détournée. Une tâche, une notification, une discussion… On ne pense plus activement à cette idée. Pourtant, elle est toujours là, en arrière-plan. Elle agit comme une teinte subtile, mais persistante, qui colore notre humeur : tristesse, inquiétude, tension… On sent que quelque chose pèse, sans forcément savoir quoi.

Le piège des pensées non conscientes

Le danger de ces pensées, c’est qu’elles continuent à influencer notre état intérieur, même une fois « oubliées ». Elles parasitent notre tranquillité, comme une application ouverte qui vide la batterie de notre esprit sans que l’on s’en rende compte. Et tant qu’on ne les identifie pas, tant qu’on ne les confronte pas, elles restent actives.

Ouvrir la fenêtre de l’esprit

Alors, comment s’en libérer ? Comment « ouvrir la fenêtre » pour aérer l’esprit ?

La réponse tient en un mot : présence.

Revenir ici, maintenant. Respirer. Lever les yeux de l’écran. Ressentir ses pieds posés au sol. Écouter les bruits autour de soi. Voir vraiment ce qui nous entoure, au lieu de simplement passer à travers. Ce retour à l’instant présent, aussi simple soit-il, a un effet presque magique : il rafraîchit notre mental, comme un courant d’air frais dans une pièce étouffante.

C’est dans cette pleine conscience, ce contact direct avec la réalité, que la pensée parasite va pouvoir naturellement s’estomper.

Un geste intérieur simple, mais puissant

Prendre ce moment pour revenir à soi n’a rien de compliqué, mais demande un petit effort d’attention. Il ne s’agit pas d’un grand exercice de méditation, mais d’un geste intérieur, accessible à tout moment de la journée.

En ouvrant cette fameuse « fenêtre », on cesse d’être prisonnier de ce qui nous ronge silencieusement. On retrouve un état plus neutre, plus calme, où la tension se relâche. C’est là que commence la vraie liberté mentale.

Par Moutassem

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Je m'appelle Moutassem Hammour et j'accompagne les personnes vers plus de légèreté d'esprit à l'aide de la méditation.

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